Colloque National d'hydrogéologie

 

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Carrière de Michel Lepiller

 

PARCOURS

ACTIVITES PEDAGOGIQUES

ACTIVITES DE RECHERCHE

RESPONSABILITES SCIENTIFIQUES

 
 

La plupart des informations portant sur la carrière de Michel Lepiller sont issues de son CV mis à jour en 2004.

 

 

PARCOURS

 

Etudes secondaires au Havre - Baccalauréat série D, mention Assez Bien.
Diplôme de CB-BG (sans mention) et de BG2 (mention Assez Bien) à la Faculté des Sciences de Rouen (Seine-Maritime).
Maîtrise de Géologie à Grenoble :

1972 : Certificat de Pétrologie                      mention Assez Bien
          Certificat de Géologie Historique        mention Très Bien
          Certificat de Minéralogie                    mention Assez Bien

1973 : Certificat d'Hydrogéologie                  mention Assez Bien
          Certificat de Géologie Structurale        mention Bien
          Certificat de Géologie Appliquée         mention Assez Bien

Diplôme d'Etudes Approfondies de Géologie Appliquée, mention Hydrogéologie, à Grenoble, en 1974, mention Assez Bien.

Travaux de terrain relatifs à sa thèse de troisième cycle (Hydrogéologie karstique dans la région d'Annecy) en 1974-1975 et pendant l'été 1976.

Installation à Orléans (Loiret) en novembre 1975, pour effectuer une recherche sur les problèmes de qualité des eaux de la rivière Eure en liaison avec la création de la ville nouvelle du Vaudreuil (Seine-Maritime), dans le service du Professeur F. Lelong.

Nomination en octobre 1977 comme Assistant stagiaire au Département des Sciences de la Terre de la Faculté des Sciences d'Orléans.

Titularisation sur ce poste en octobre 1978.

Soutenance de sa thèse de troisième cycle à Grenoble, le 12 septembre 1980.

Nomination en octobre 1990 comme Maître de Conférences à l'Université d'Orléans.

Affectation à l’Ecole Supérieure de l’Energie et des matériaux le 17 décembre 1999 suite à une demande de mutation interne avec échange d’emploi

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ACTIVITES PEDAGOGIQUES

 

Depuis le départ, en 1989, du Professeur F. LELONG qui dirigeait le Laboratoire d'Hydrogéologie, Michel Lepiller a assumé la charge de la totalité des enseignements d'hydrogéologie et d'hydrochimie figurant au programme des divers cursus de second cycle de la Maîtrise des Sciences de l’Environnement d’Orléans. Il s'est aussi chargé d'une part importante des enseignements équivalents en deuxième et troisième années de l’ option " Géologie et Travaux d'Aménagement " de l'Ecole Supérieure de l'Energie et des Matériaux d'Orléans (modules hydrogéologie générale-hydraulique souterraine, gestion quantitative des systèmes hydrologiques, gestion de la qualité des systèmes hydrologiques, camp de terrain hydrogéologique, école de terrain de traçage en milieu karstique).

En outre, il a assuré de 1991 à 1999 le cours d'hydrologie de la première année de la Maîtrise d'Ingénierie des Milieux Aquatiques et des Corridors Fluviaux de l'Université de Tours et depuis 2000 le cours d’hydrogéologie de la Maîtrise des Sciences de l’Environnement de Tours.

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ACTIVITES DE RECHERCHE

 

Depuis le départ, en 1989, de son Directeur, le Professeur F. Lelong, Michel Lepiller a maintenu et développé les activités du Laboratoire d'Hydrogéologie.
 

DOMAINE DE RECHERCHE
 

Il concerne l'étude des modalités du transit des substances dissoutes ou particulaires dans les eaux superficielles et souterraines, avec une application prépondérante à l'hydrogéologie des formations carbonatées karstifiées :

- Etude du processus de karstification dans des contextes bio-climatiques variés et sur des systèmes parvenus à des stades divers de développement du drainage karstique. A cet égard, la demi-couronne de craie qui émerge de sa couverture tertiaire peu perméable, à l'Est du Loing, fournit un terrain d'observation exceptionnel de la naissance et du développement de systèmes karstiques en fonction du degré d'avancement de l'ablation de cette couverture. ). Etude des tendances à moyen terme de l'exportation carbonatée : relation avec les variations climatiques (système karstique de Bange-l'Eau-Morte, Haute-Savoie).

- Etude des modalités de circulation des eaux dans les systèmes hydrologiques karstiques fondée sur l'analyse des hydrogrammes (étude du transfert d'énergie), des concentrations et des flux de matières dissoutes aux exutoires (transfert de masse) et des résultats de traçages artificiels. Application au transit des fertilisants (nitrate) et substances phytosanitaires (isoproturon et atrazine, respectivement herbicides du blé et du maïs, et leurs métabolites) à travers les systèmes karstiques du Gâtinais (systèmes des Trois-Fontaines et de la Métairie).

- Etude méthodologique du traçage artificiel : interprétation à partir de la distribution des temps de séjour (D.T.S.) du traceur : application des propriétés de cette dernière à la simulation du transit et à la gestion du risque résultant de l'injection accidentelle d'une substance polluante. Expérimentation sur modèle réduit, sur un tronçon de drain (système de Bange-l'Eau-Morte) et sur des systèmes traçages de diverses régions de France. Application à l’étude de systèmes karstiques de plusieurs régions de France : Val d’Orléans, Beauce, Gâtinais, massifs des Bornes et des Bauges dans les Alpes.  

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RAPPORT D’ACTIVITES DE RECHERCHE 
(juin 1999 – février 2004)
 

L'activité de Michel Lepiller pendant cette période a été pour l’essentiel consacrée à l’étude des circulations hydriques dans les formations carbonatées karstifiées. Elle concerne des aspects très fondamentaux de la géodynamique de ce type de domaine puisque l’étude de la genèse et du fonctionnement des systèmes hydrologiques karstiques, étroitement liés au développement de la porosité secondaire acquise par dissolution, se confond avec celle de l’érosion des aires carbonatées, et des aspects très appliqués puisque plusieurs caractéristiques de ces systèmes (volume de réserve, volume d’eau transitant, etc..) et au moins une des variables qui contrôlent la dissolution (la vitesse de l’eau) interviennent dans le déplacement de l’eau et des substances qu’elle transporte, touchant ainsi directement aux questions de gestion de la ressource et de sa qualité.

Le système karstique de Bange-L’Eau-Morte (chaînon occidental des Bauges : Semnoz) est un système expérimental sur lequel sont évalués les contrôles géodynamique et climatique de la karstification, le rôle de cette dernière dans l’érosion des séries carbonatées des marges des chaînes de collision (massifs subalpins des Bauges et des Bornes) et son rôle possible sur le comportement mécanique des ensembles géologiques concernés.

L’acquisition des données (débit, température de l’eau, conductivité électrique), en cours depuis 23 ans et en majeure partie à compte de laboratoire, a été poursuivie. Le dispositif de mesure et d’enregistrement de la conductivité mis en place début 1998 est maintenant opérationnel après résolution de plusieurs problèmes de fonctionnement du module d’acquisition de données. Ce système karstique offre actuellement une chronique de débits et de concentration de HCO3- unique par sa longueur et sa résolution (fréquence journalière pour HCO3-). Son exploitation est en cours. Elle a donné lieu  à plusieurs sujets de projets réalisés à l’E.P.U.O. et au stage de DEA de Thibault MATHEVET (DEA Hydrologie, Hydrogéologie, Géostatistiques et Géochimie, Ecole des Mines de Paris) en collaboration avec Alain MANGIN, Laboratoire Souterrain de Moulis (UMS CNRS T 1816), soutenu en 2002; l’influence de la température de l’air sur l’intensité de la dissolution et le débit massique de carbonate exporté est en cours d’évaluation ainsi que les modalités et lieux d’exercice de la dissolution au sein du système karstique et celles du transport de la charge dissoute par les différents types d’infiltration (immédiate, différée, lente). la modernisation de la station et son inclusion dans le réseau d’observation de l’Agence de l’Eau Rhône-Méditerranée-Corse sont envisagées.

Des expériences de traçages ont été poursuivies dans la partie aval du drain dans le but de compléter l’étude de l’évolution de la forme de la distribution des temps de séjour d’une substance en fonction de diverses variables : temps moyen de séjour, débit, etc… Les résultats de cette expérimentation sont directement utilisables dans une méthodologie - actuellement en cours d’élaboration - de mise en œuvre et d’exploitation des traçages aux fins de simulation du transit de substances polluantes dans un système karstique.

Sur le système karstique des Trois-Fontaines (craie du Gâtinais de l’Est, France), l’acquisition des données relatives aux substances phytosanitaires et fertilisants a été poursuivie. Là encore, il s’agit d’étudier les modalités d’infiltration sur une échelle de temps cohérente avec les composantes naturelles de l’écoulement déterminées par les oscillations des variables climatiques à court ou moyen terme. La poursuite de l’étude diachronique pendant une dizaine d’années, selon un protocole allégé, a permis de mettre en évidence le rôle prédominant de l’hydrologie sur le transit des molécules de phytosanitaires, la fonction d’entrée de ces dernières restant pratiquement inchangée, et de confirmer la faiblesse (- de 1 pour mille) de la fraction de la masse appliquée transitant jusqu’à l’exutoire du système responsable de la dégradation de qualité observée.

Outre celle des phytosanitaires et fertilisants, le système des Trois-Fontaines et le Gâtinais de l’Est dans son ensemble permettent l’étude des premiers stades de l’érosion des séries carbonatées des bassins sédimentaires et de la partition de l’aquifère crayeux en systèmes karstiques assurant la dissipation de l’énergie reçue par l’eau de pluie au niveau de leur bassin versant. De 1999 à 2002, une dizaine de traçages et plusieurs cartographies piézométriques sont venus compléter le schéma d’organisation des circulations karstiques actuellement représenté sur une carte du Gâtinais à 1/100 000 et dont la publication devrait intervenir dans le cadre de l’ouvrage « Eaux souterraines de la France » en 2002-2003.

Le système karstique établi dans le calcaire de Beauce sous le Val-d’Orléans permet l’étude de la genèse d’un système essentiellement alimenté par des pertes fluviales (celles de la Loire). Plusieurs campagnes de traçages réalisées en collaboration avec P. Albéric et les plongeurs de l’Association Spéléo Subaquatique Loiret ont permis de mettre en évidence la « précarité hydraulique générale» du cours amont du Loiret liée au contexte géodynamique du corridor fluvial et accentué par des causes anthropiques. Cette précarité se manifeste par le fonctionnement habituel de plusieurs orifices en pertes et par la tendance de certains autres à présenter ce type de fonctionnement. Un modèle conceptuel d’organisation des écoulements intégrant les observations effectuées par les plongeurs spéléologues peut être maintenant proposé et servir de support à la réflexion sur l‘utilisation de la ressource en eau du système du Val d’Orléans.

Le transfert d’énergie et le transport de matière entre l’aquifère karstique sous-fluvial du Val d’Orléans et l’aquifère alluvial qui le surmonte ont été étudiés en collaboration avec  M. TREUIL et F. LE BORGNE, (Laboratoire P. Süe du CEA, I.P.G., Universités Paris VI et VII, Société Morillon-Corvol), dans le cadre de la thèse de ce dernier, soutenue en juin 2001. Un fort confinement, au moins local, de la partie alluviale de l’aquifère et ses conséquences sur la dynamique des substances polluantes d’origine agricole a pu être mis en évidence par la géochimie des eaux, les traçages et l’hydrodynamique.

Programme National de Recherches sur les Zones Humides (Mares) : Mise en évidence par analyse factorielle (ACP Centrée-réduite) de la pluralité des processus contrôlant les caractéristiques physico-chimiques et chimiques de 8 mares du canton de Châteauneuf-sur-Cher. Réalisée en collaboration avec B. SAJALOLI, E.N.S. Fontenay-St-Cloud et N. HAMARD, Fac. Lettres, Univ. Orléans, cette étude se poursuit dans le cadre de la deuxième phase « pôle relais mares et mouillères ».

Michel Lepiller a participé au volet hydrogéologique du programme de Gestion Durable de la Ressource en Eau des îles des îles Loyauté mis en œuvre conjointement par l’institut pour la Recherche et le Développement, l’Université de Nouvelle Calédonie et l’Université d’Orléans. Deux missions d’un mois, préparées par des missions plus longues d’élèves stagiaires techniciens de l’E.P.U.O.et effectuées en juillet-août 2002 et 2003, ont permis, grâce à une prospection minutieuse de portions de littoral destinée à y mettre en évidence des zones d’exhaure, à la réalisation de traçages artificiels et à une analyse géomorphologique, de substituer à la représentation classiquement admise d’un aquifère homogène à porosité essentiellement interstitielle celle d’un aquifère hétérogène à double porosité interstitielle et karstique fonctionnelles. La compréhension de la genèse et donc de la répartition géographique de cette karstification, probablement liée à des processus de dissolution résultant du mélange de l’eau douce avec l’eau salée qu’elle surmonte, s’avère essentielle pour la protection de la  qualité de la ressource en eau douce de ces îles en voie d’accès à la consommation et au développement.

Michel Lepiller est également associé aux recherches menées par le Centre de Développement des Géosciences Appliquées de l’Université de Bordeaux (Pr. Joêlle Riss) en association avec le bureau d’études Cetra et le Conseil Général des Pyrénées atlantiques sur l’hydrogéologie karstique des chaînons béarnais (thèse Fabrice Rey).
 

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RESPONSABILITES SCIENTIFIQUES

 

Membre de la Commission de Spécialistes 35-36 de l'Université de Tours

Membre de la Commission de Spécialistes 35-36 de l'Université d'Orléans

Il anime le laboratoire d'hydrogéologie de l'Université d'Orléans pendant de nombreuses années. Ce dernier fut localisé à l’Ecole Polytechnique de l’Université d’Orléans suite à son rattachement à cette composante de l’Université d’Orléans le 17 décembre 1999. Michel Lepiller assumait la totalité de la charge administrative liée à l'activité du laboratoire et à la gestion de contrats de recherche et de prestations.

Membre du conseil d’administration de l’Association pour la Recherche et les Transferts de Technologie.

Collaboration avec le Laboratoire de Géologie des Environnements Aquatiques Continentaux (Université de Tours). 

Participation au projet « Mares » du Programme National de Recherches sur les Zones Humides (PNRZH) dirigé par le Centre de Biogéographie - Ecologie de l’Ecole Normale Supérieure de Fontenay - St - Cloud (UMR 8505). Chef de Projet : Bertrand SAJALOLI.

Membre du Groupe de travail thématique « Karst » créé par le Ministère de l’Aménagement du Territoire et de l’Environnement en vue de l’élaboration du Référentiel hydrogéologique français par entités hydrogéologiques (BD RHF) 

Thèses co-dirigées et soutenues depuis 1992  

LASNE E. (1992) - Etude du système hydrologique karstique des sources des Trois-Fontaines (Saint-Loup-de-Gonois - Loiret). Contribution à la connaissance de la structure, du fonctionnement et de l'évolution de l'aquifère crayeux du Gâtinais (Sud-Est du Bassin de Paris). Thèse de Doctorat de l'Université d'Orléans, 453 p. 

BARAN N. (1996) - Transit de l'isoproturon et de l'atrazine dans un système hydrologique karstique de la Craie (Gâtinais - France). De la station pédologique expérimentale à l'échelle du système. Thèse de Doctorat de l'Université d'Orléans, 329 p. dont 17 d'annexes.

Participation à l'encadrement et au jury de thèseS

OUBELKASSE M. (1998) - Bilans des exportations de matière dissoute d'un cours d'eau sous influence agricole : le Négron, Sud-Ouest du Bassin Parisien, France. Thèse de l'Université François Rabelais, Tours. Directeur de thèse : Pr. D. GRIMAUD.

NAJIB H. (2000) – Etude de la structure et du fonctionnement hydrologique du bassin versant karstique de la Doria (Massif des Bauges – Savoie). Thèse de Doctorat de l’Université Louis Pasteur – Strasbourg I, mention Géographie – Hydrologie, 273 p.

Directeur de thèse : Pr. M. NIETTON.

LE BORGNE F. (2001) – Réponses hydrogéochimiques de la nappe phréatique du Val d’Orléans aux sollicitations de son environnement. Développement du site expérimental de la carrière Morillon-Corvol de Sandillon  (45). Thèse de doctorat de l’Université Paris 7, 746 pages dont 27 annexes de 246 pages.

Directeur de thèse : Pr. M. TREUIL.

Relations industrielles et valorisation  

Relations avec de nombreux bureaux d'étude (Calligée à Nantes, Environnement-Géologie-Service à Limoges, Soderef à Yvetôt, Hydratec à Paris, Géohyd et Antea Centre à Orléans, coopérative Epis-centre à Bourges, etc..), Services géologiques Régionaux (Centre, Poitou-Charente, etc..), Servives de l'Etat (D.I.R.E.N. Centre, S.R.P.V. centre, D.D.A.F. du Loiret, etc..), Agences Financières de Bassin (Agence de l'Eau Loire-Bretagne, Seine-Normandie) et B.R.G.M. (Direction de la Recherche).

Publication de la thèse de N. BARAN dans la série Documents du B.R.G.M.;

Développement de recherches en paléohydrologie karstique dans le Gâtinais en collaboration avec le bureau d'études Géohyd (Orléans);

Création d'une école de terrain de traçage dans le Gâtinais (dans le cursus de la 3ème année de l'option R.T.A. de l'E.S.E.M. en 1999-2000, ouverte ultérieurement à la profession dans le cadre de la formation continue)

 

COOPERATION INTERNATIONALE

Du 6 au 14 décembre 2001, mission en Irak à l’initiative du Ministère des Affaires Etrangères français pour évaluer les possibilités de restauration de la coopération scientifique dans le domaine de l’Environnement. Visites des universités de Mustansyrihia et de Technologie (Bagdad) et de l’université de Mossoul. Deux conférences sur les problèmes de pollution par les produits phytosanitaires (universités de Mustansyrihia et de Technologie). Cette mission, qui fait suite à celle des Professeurs PERTHUISOT et LEVIEUX et au séjour du Professeur MOHAMED AL-ANI à l’Université d’Orléans en juin 2001, prépare la signature d’accords-cadre de coopération entre les universités d’Orléans et les universités irakiennes intéressées.

 

Cette mission a été suivie :

-         de la visite en France des professeurs Basim K. Jrew, Directeur de l’Ecole d’Ingénieurs de l’Université de Technologie de Bagdad et du Docteur Mohamed Ali I. Al-Hashmi, Chef du Département des Etudes Supérieures et des Affaires Scientifiques (15 – 21 décembre 2001),

-         en juillet 2002, de celle du Professeur Mohamed Al-Ani, Vice-Président de l’Université Al- Mustansyrihia pour les Etudes Supérieures et la Recherche (juillet 2002), au cours de laquelle un projet de recherche en coopération dans le domaine de l’environnement entre la France et l’Irak a été établi ( Modélisation de la qualité de l’eau - étude de la dispersion des pollutions dans le fleuve Tigre – Devenir des pollutions à partir des sources ponctuelles),

-          en janvier 2003, de celle du Professeur Kawkab Habib Selman, Chef du Département des Etudiants de l’Université de Technologie de Bagdad,

-           le 17 octobre 2003, de celle d’une délégation de la nouvelle équipe de direction de l’Université de Technologie de Bagdad conposée des Professeurs Sirob Kribor Krikor, Vice-Président de l’Université, Eyad Jehad Shams El Deen, Vice-Président chargé des Affaires Scientifiques, et Khalil Ibrahim Ali, Chef du Département d’Architecture.

 

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